Si Käthe Kollwitz n’est pas contre la guerre en 1914, elle le devient après la mort de son fils, puis, par la suite, elle lutte contre la misère sociale des ouvriers allemands de l’époque et, pressentant la venue d’une nouvelle guerre, elle dénonce le nazisme. Ses œuvres sont le reflet de sa vie. Durant la Deuxième Guerre mondiale, en 1942 elle doit subir un autre chagrin : son petit-fils, prénommé Peter en mémoire de son oncle, est tué en Russie. Elle décède en 1945.
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